La mulerie Saison 1: semaine 14

Semaine 14/15 : Une semaine avec trois sorties remarquables.

Tout d’abord, un petit concours interne en saut d’obstacles sur 60 cm qui s’est bien déroulé malgré la fatigue de la veille.
Nous avons réalisé le spectacle comme il se doit, avec une option improbable malgré un refus dû à un étrange obstacle.

Ensuite, une sortie sur une petite colline, parcourant 12,89 km avec un dénivelé positif de 219 m en 1h57.
Je n’arrive pas à savoir si c’est dû à une trop grande usure dans le pied ou simplement au fait d’être sans un autre compagnon équin. Cependant, la poulette a un peu de mal à avancer, donc il faudra surveiller cela de près. Sur cette boucle, je profite d’un dénivelé moins prononcé et de l’accès à des champs de vigne pour travailler le galop.

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Cela permet de diversifier les entraînements, mais surtout de préparer le prochain objectif de la saison qui promet d’être amusant compte tenu des contraintes auxquelles nous devrons faire face.

En ce qui concerne le travail en carrière, j’ai essayé de retravailler les bases afin de comprendre ce que je peux améliorer suite à mes lacunes techniques lors du précédent TREC. Lorsque je parle des bases, je veux m’assurer de pouvoir mobiliser l’ensemble du corps de la bestiole (hanche, tête, épaule) à travers des exercices de base.
Cette séance m’a permis d’entamer une réflexion sur la manière de monter à cheval.

Permettez-moi de m’expliquer :

Suite à la remise en question de la semaine dernière, j’ai demandé l’aide d’une amie coach eulex Aurazur pour monter un grand cheval sage, également connu sous le nom du grand Padawan du Verseau. Ce cheval mesure 1m60 et a un bon moteur.
La conclusion de cette séance est que même si mon équitation est encore très, très loin d’être parfaite, j’arrive à me tenir relativement correctement sur un cheval.
De manière personnelle, j’ai ressenti qu’il est plus facile de se tenir sur un cheval avec de l’énergie à revendre. J’ai noté à la suite de cette séance « réflexions sur les aspirations du cavalier : il faut porter la mule, contrairement à un grand cheval qui doit être canalisé. »
Je pense que le terme « porter » n’est peut-être pas le plus approprié, mais je vous raconterai tout cela dans le cadre de mes réflexions ultérieures.

Des bisous à tout le monde et à la semaine prochaine !

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semaine 13 : TREC de Montauroux

Semaine 13/15 :Cette semaine a été plus mouvementée que les précédentes, en partie grâce au lundi férié béni des dieux qui a permis de faire plus de mule que d’habitude, mais aussi grâce au peuple des herbes (@Les pouns en Herbe), organisateur de l’avant-dernier TREC de la saison pour nous : le TREC de Montauroux.

D’un point de vue factuel, la semaine peut se décrire avec 2 sorties et un TREC. Sur les deux sorties, nous avons fait une sortie en colline sur 11,2 km en 2 heures, avec 284 m de dénivelé positif, et une sortie de « transit » pour passer d’une écurie à l’autre sur environ 5 km.
Le TREC était succulent malgré le fait que je ne sois pas entièrement satisfait de ma prestation. Comme à notre habitude, je vous propose une petite rétrospective de cet événement par épreuves : le Parcours Orientation et de Régularité (POR), la Maitrise des Allures (MA) et le Parcours en Terrain Varié (PTV).

POR : 160/300 points, soit 53% de réussite (je mets des pourcentages pour faire genre). C’est le plus mauvais POR de la saison pour le moment. Cela peut s’expliquer par deux choses : j’ai mal tracé (encore une fois, haha) sur la carte des petits pièges, ce qui a faussé notre trajectoire, qui s’est ajouté à un deuxième mauvais chemin en fin de parcours dû à une faute d’inattention.
En conclusion, il va falloir travailler la concentration sur le tracé et en fin de parcours. J’étais pénalisé aussi car je suis parti avec ma sœur accompagnée d’une « vache noire » et les duos n’étant pas possibles en Club Élite, nous avons du nous attendre ce qui a pénalisé notre temps.

MA : 39/60 points, soit 65%. Nous avons obtenu le même résultat que lors du précédent TREC. Maintenant que l’on sait que l’on peut assurer des points constants, je vais réessayer de retravailler l’accélération du pas, chose que je ne faisais plus par crainte de rompre les allures, mais fini de rigoler.

PTV : 90/140 points, soit 65%. Sur le papier, c’est le meilleur PTV de la saison pour le moment. Il est important de préciser qu’il s’agit du papier. Dans la pratique, même si l’on tire de jolies photos grâce à @OneShotEquitation et à d’autres personnes fort sympathiques de la tribu des herbes, je ne suis pas très satisfait du résultat, surtout en ce qui concerne la technique à cheval pur. J’ai utilisé trop de dispositifs de force comme un gueux. Je pense que cela est en partie dû au fait que je travaille seule dans mon coin avec beaucoup de sorties pour « faire du fond » et que, par conséquent, le niveau technique équestre ne suit pas.
L’analyse d’une amie professeure est la suivante : sur une discipline comme le TREC, la poulette a les capacités pour faire dans notre catégorie actuelle, mais les problèmes que nous rencontrons descendent plutôt. Enfin ce texte est bien assez long j’arrête de parler.

Au final, nous étions presque sur le podium puisque nous décrochons la 4ème place sur 7.
Des bisous tout le monde, à bientôt !

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La mulerie Saison 1: semaine 12

Semaine 12/15.C’est le début des beaux jours chauds et chaleureux, et comme d’habitude depuis déjà 3 ans, c’est l’heure de la tonte.

La poulette a du mal à perdre son pelage de yack, et les efforts combinés à la chaleur étouffante du Sud rendent les sorties inconfortables pour Madame. C’est aussi l’occasion de changer la carrosserie en passant d’un marron caca d’oie à un joli noir moucheté.

J’ai aussi fait quelques expériences capillaires peu concluantes.
Ce qui m’a conduit à passer un coup de tondeuse sur cette crinière, donnant cette élégante encolure de lombric subtile et inhabituelle.

D’un autre point de vue, j’ai orienté l’entraînement du week-end vers l’extérieur pour continuer à travailler sur le fond avec peu de temps à disposition. Cet entraînement s’est composé par deux sorties de 10 kilomètres pendant 2 heures, avec environ 300 mètres de dénivelé positif.
On sent que la tonte fait du bien à la bête : elle souffle légèrement moins pendant l’effort.

On en a aussi profité pour tester le lâcher de mule dans les descentes en collines.

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La mulerie Saison 1: semaine 11 : Stage Emile Brager

Semaine 11/15 L’échéance se rapproche à grands pas et la poulette se paye le luxe de prendre une semaine de vacances forcée. Tout va bien, rassurez-vous, mais je suis partie faire un tour pour parler de bât avec un grand monsieur. par conséquent, Dame Mule s’est retrouvée sans cavalier et donc au chômage. Mais ce repos fut des plus instructifs pour moi. J’ai appris tout un tas de choses sur les mules, les voyages et les basses-cours. Par exemple, « une bonne mule grandit sur un terrain plein de cailloux ». La logique derrière cette phrase farfelue est la suivante : le pied du cheval/mulet s’adapte à son environnement. Plus le terrain est dur, plus le pied le sera. De plus, en général, les terres pleines de cailloux sont moins riches en herbe, ce qui est toujours vrai en théorie (quel magnifique pays la théorie, c’est un pays où tout marche). Mais pour en revenir à la terre, les terres correspondront mieux aux mules et aux ânes qui peuvent avoir tendance à l’embonpoint. J’aurais encore mille et une choses à raconter, mais il paraît que le grand monsieur de ce stage est en train de préparer un deuxième livre et je n’ai certainement pas encore son talent et son expérience pour raconter toutes ces choses ! Sur ce, je vous laisse. Des bisous à tout le monde !

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La mulerie Saison 1: semaine 10

Petite semaine avec 4 sorties pour la bestiole . Nous avons profité du jour férié pour transférer la mullase d’une écurie à l’autre le tout monté . La semaine s’est passée tranquillement et la mulasse est resté aurepos du mardi au vendredi . Sur le week end nous avons fait une trés courte séance de longe , une sortie de galop de 9 km et une carrière pour retravailler les sauts et quelques exercices au galop.

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La mulerie Saison 1: semaine 9

semaine 9/15 Les semaines sont plus calmes pour la poulette en l’absence de la sœur en semaine. Il y a eu en tout trois sorties de la mulasse qui se sont enchaînées sur le week-end : une longe, une carrière et une grosse sortie.

Pour la longe, je profite des jours qui se rallongent pour sortir la poule quand je rentre de la cité fosséenne en début de week-end. Étant donné le manque de temps, j’ai fait une petite longe, la première de la saison, et quel spectacle ! Le résultat était artistique, avec une poule formant des cercles en forme de patate et manifestant son mécontentement à coup de patte arrière.

La sortie du 9 avril était bien sympa. Nous sommes allés faire un tour du côté de Notre-Dame des Anges pour une sortie de 16 km, avec 600 m de dénivelé positif et environ trois heures de randonnée pure.

Le travail en carrière n’était pas très passionnant à raconter, juste des galops et des courbes. On va essayer d’être plus joueurs sur le prochain TREC pour marquer le plus de points possible en testant le plus de dispositif au galop.

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semaine 8 : TREC d’olliéres

Une semaine plus calme, avec le départ de la sœur vers de nouvelles contrées et mon absence en semaine, la mule n’est sortie que le week-end. Mais quel week-end ! Le samedi, nous sommes partis pour un rapide travail de carrière, pas trop long pour ménager la bête en vue du deuxième TREC de la saison le lendemain.

Sur la carrière, nous nous sommes contentés de suivre la routine que nous avons mis en place depuis la reprise, c’est-à-dire une longue période de marche et de détente suivie d’un rapide travail en carrière. On as principalement travaillé sur le galop, qui est relativement compliqué pour les mules (je pense) et qui n’est pas forcément aidé par mon gabarit. Mais j’étais très satisfait de ce qu’elle a donnée et je l’ai donc rapidement laissée tranquille. J’oublie trop souvent de prendre des vidéos, haha, il va falloir me croire sur parole !

Le dimanche, nous sommes donc partis pour le deuxième TREC de la saison aux Sabots de Saint-Hilaire, dans la petite commune d’Ollières. Je vais faire un petit debrief de toute cette aventure, comme d’habitude avec le POR la MA et le PTV.

Pour le POR, nous avons obtenu 198/300. C’était un parcours très roulant et nous n’avons pas eu de gros problèmes de navigation, mais j’ai tout de même commis l’erreur de ne pas me repérer avant d’arriver sur le champ de course et j’ai eu du mal à me repérer sur le début du parcours. Du côté de la navigation, les techniques de métrage et de traçage sont à améliorer. Les feutres sont trop épais et je dois travailler le matériel de métrage tout simplement. En ce qui concerne la vitesse, même sur des zones de faible vitesse, il faudrait tabler légèrement au-dessus pour pouvoir rattraper les retards dus aux potentielles divagations inopportunes.

Pour la maîtrise des allures, nous avons obtenu 39/60 , nous n’avons pas pris le temps de faire une détente d’allure, nous avons directement enchainé avec l’épreuve. Malgré cela, il n’y a pas eu de rupture d’allure, mais nous n’avons pas joué sur la vitesse. J’avais trop peur de la rupture d’allure, il va falloir travailler tout ça (le galop le plus lent est facile haha, mais le pas le plus rapide sans rupture, c’est moins évident).

Pour le PTV, nous avons obtenu 83/140 s, l’épreuve est arrivée plus tard dans l’après-midi et nous avons eu le temps de faire une agréable sieste accompagnée d’un soleil printanier. Le contre-coup d’une belle sieste est une Suchard très molle et dans le coltar. Par conséquent, le PTV n’a pas été des plus glorieux. J’ai senti un manque sur le travail des sauts (nous avons essuyé quelques refus là où je pense qu’avant cela ne se serait pas produit). Une autre conséquence de la sieste et de la détente molle était un couple légèrement maladroit et pas très en accord sur la direction à prendre. En bref, il va falloir travailler le galop et la direction. Il faudrait aussi réfléchir à trouver la bonne recette de détente pour réveiller et motiver la mulasse en cas de panne ou de sieste prolongée.

En conclusion, notre deuxième TREC en termes de performance n’a pas été aussi glorieux que le plaisir que nous avons pris à le faire avec la sœur (j’ai oublié de dire qu’elle faisait partie de l’aventure). Nous sommes arrivés 5ème sur 7, on peut se rassurer en se disant que c’est presque la moitié, mais il va falloir cravacher si nous voulons tout manger au POET ! Total : 320/500 points.

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semaine 7 : TREC de Aups

La semaine en termes de volumes a été moins importante, avec une seule sortie sur 9,7 km pour 1h28, et le premier TREC sur quatre prévus dans la saison.

Et du coup, c’est parti pour une petite rétrospective du premier TREC de la saison au sein de l’équipe du Sud. Nous sommes parties en club élite, et Dame Poulette a été extraordinaire. Je vous propose de faire un petit debrief de l’ensemble de l’épreuve à J+1 pour assouvir les curieux, mais surtout pour ne pas oublier tous les petits trucs à travailler. Pour les non-initiés, le TREC se déroule en trois épreuves : le POR, la MA, et le PTV. Nous allons débriefer ces épreuves une par une.

Total: 66% de réussite »

Sur le POR :
227/300 points.
74%
Du point de vue de la coéquipière à grande oreille, le point principal que je vois à travailler, c’est la gestion des émotions. Dans le sens où elle a tendance à trop vouloir rattraper les copains croisés sur le parcours, ce qui en soi reste très gérable mais complique la lecture de la carte. Et un petit point à travailler : le poinçonnage à cheval pour éviter de perdre du temps à remonter et descendre.

Du côté du pilote, alors il y a pas mal de choses à raconter. Tout commence en salle des cartes avec la mesure du tracé. Je dois trouver d’autres solutions plus sûres et m’entraîner à avoir des estimations plus précises. Sur le parcours en lui-même, je dois faire attention à la gestion de la vitesse. Je manque de confiance, et par moments je prends trop mon temps pour être sûr et certain du chemin. L’estimation de la vitesse pourrait s’améliorer avec des prises de temps plus régulières et avec une nouvelle matrice de vitesse. Et pour terminer, faire attention aux « pièges », surtout les plus évidents, et surtout en fin de parcours ! PS : RAS niveau pied.

Maîtrise des allures :
25/60 points.
41%
On a assuré les points en jouant la sécurité. Cette maîtrise des allures n’était pas évidente, de par le petit dénivelé qu’elle comportait. En montée sur du galop, compliqué de réduire l’allure au risque de faire une rupture, et même chose à l’inverse sur le pas.

Sur le PTV :
82 /140 points.
58%
Très fier de cette performance sur le PTV dans l’ensemble. Le PTV était grand avec des obstacles bien espacés. Du point de vue de la mule, elle a buggé sur les sautants, impressionnants, à savoir un tronc en selle et un fossé en main (sur la photo avec les gros yeux). Dans la suite des entraînements, il faudra travailler tout ce qui concerne le passage d’obstacles regardants. Du point de vue du cavalier, il va falloir travailler sur la gestion des risques. J’ai l’impression d’arriver à un moment où je commence à rencontrer des erreurs induites par mes choix de parcours et non pas par une limitation du dressage/conditions physiques de la poule. Exemple typique sur la ruelle en L, l’entrée était compliquée et nécessitait un peu de finesse. Je suis parti vent dans le dos à fond alors que j’aurais dû prendre le temps de travailler l’entrée. Et encore une fois, il y a cette problématique de barrière.

Pour résumer le week-end, c’était vraiment un chouette week-end, une régalade de plaisir, mais il y a encore beaucoup de chemin à parcourir.

ps: la bestiole mange pas mal sur le concours

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La mulerie Saison 1: semaine 6

Semaine 6, nous avons progressé dans le programme et la Such s’affine petit à petit. Cette semaine ressemble aux autres, avec des sorties parsemées d’une touche de travail en carrière.

En ce qui concerne les sorties de la semaine, nous avons effectué 3 sorties pour un total de 30,5 km et 661m de dénivelé positif répartis sur 5h18. Nous avons gravi deux collines et fait une petite séance de trop. Pour ma part, c’était ma première fois en colline avec la bestiole depuis l’accident et j’ai été fainéant . Je ne suis pas descendu de la bestiole dans les descentes importantes et cela lui a un peux tiré sur la coane.

Suite à la séance en collines, le lendemain, lors de la séance en carrière, la poule était sensible sur le passage de sangle. Nous avons donc vérifié les boiteries et les blessures, une fois le check-up effectué et validé, nous sommes partis travailler un long moment à pied. Une fois la bête bien échauffée, nous avons effectué un travail en selle léger. Pour la semaine suivante, il est prévu de faire le strict minimum en termes de sortie pour se reposer avant le premier trec de la saison qui a lieu la semaine prochaine.

Des bisous et à bientôt !

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La mulerie Saison 1: semaine 5

Retour sur la semaine 5 d’entraînement de guerrière de Dame Poulette. La bestiole est sortie quatre jours : une séance en carrière, deux trots/galops et une séance avec dénivelé.

En chiffres, cette semaine nous avons parcouru 28,9 km avec un dénivelé positif de 233 mètres, le tout en 3 heures et 59 minutes.

Lors de la séance en carrière, nous avons profité de la présence d’un regard extérieur expert pour travailler de manière plus classique sur des trajectoires et une certaine recherche d’attitude. Dans cette séance, Such a été formidable et voici une note que j’ai prise dans la foulée :

« Un travail de carrière qui commence comme d’habitude avec des tours de piste en mains, puis à cheval au pas, puis au trot, puis au galop. Nous avons profité de la présence d’un œil expert pour travailler sur une équitation plus classique, avec toutes ces histoires de mise sur la main. Et je me suis rendu compte que je n’appréciais pas toujours à sa juste valeur ce que Poulette me donne et que j’ai trop tendance à vouloir aller plus loin. Je pense qu’avec le temps, je commence à comprendre où sont ses limites et j’apprécie bien plus ce qu’elle peut donner. Et elle en donne des choses, ne serait-ce que par le gabarit dans notre couple cavalier/mule. Je fais 75 kilos pour 1m73 et en termes de gabarit, avec ses 1m43/42 au garrot et son petit gabarit, elle est vraiment très chouette de me supporter dans toutes ces bêtises. »

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